L’appel au boycott des produits israéliens ne relève pas de la liberté d’expression, mais constitue une provocation à la discrimination. Analyse critique d’une jurisprudence française

Un commentaire

  1. Sujet fort intéressant et parfaitement traité. Difficile de trouver le point d’équilibre entre, d’une part, le droit du citoyen de manifester son engagement en faveur de la cause palestinienne y compris par le boycott et d’autre part le caractère discriminatoire de cette action visant certes l’état israélien, mais aussi à travers lui, l’économie et les producteur du pays. Quoi qu’il en soit, à défaut de solution politique, je penche pour la liberté totale d’expression.